17 Juin 2016
Je vais te faire un article pas banal ami lecteur.
Oui, je vais te parler de mon boucher. Sans jeu de mot avec mon chirurgien cette fois. Je vais te parler de "mon boucher" au premier degré, en vrai de vrai. Là, tu vois, c'est son étal :
Sur toute la chaine alimentaire, on se fait du bien... Jusqu'à l'étal de mon boucher, chez moi, au Croisic ! Quand j'ai découvert le logo bleu-blanc-coeur dans ses rayonnages, je me suis d'abord dit qu'il y avait une erreur : pas moyen d'en trouver en région parisienne avant (je venais de lire Servan-Schreiber après le cancer du néné pas encore métastasé, tu penses si je l'ai cherchée pourtant, la viande de lin) et là, paf ! Elle est sous mon nez et sur ma presqu'île. À peine croyable, cette affaire.
Alors je dis "chapeau mon boucher !".
Et merci !
Et j'espère que tu donneras des idées à bien d'autres !
... Et je précise que c'est pas parce que je parle de lui ici qu'il me fait des prix sur la côte de boeuf hein ? Pas de "dessous de billot" entre nous ! Non, non, non. Je parle de lui ici, juste parce que c'est bien ce qu'il fait, c'est tout !