30 Septembre 2013
« La civilisation, au vrai sens du terme, ne consiste pas à multiplier les besoins, mais à les limiter volontairement. C’est le seul moyen pour connaître le vrai bonheur et nous rendre plus disponible aux autres.
Il faut un minimum de bien-être et de confort. Mais, passée cette limite, ce qui devait nous aider devient une source de gêne. Vouloir créer un nombre illimité de besoins pour avoir ensuite à les satisfaire, n’est que poursuivre du vent.
Ce faux idéal est un traquenard. »
J'ai déniché cette citation avisée la semaine dernière. Dans la salle de soins de mon kinésithérapeute. Kinésithérapeute que j'ai dû appeler ce matin pour annuler ma séance pour cause de bouchons sévères... Dans le nez.
Oui car les embouteillages ne sont pas courants au Croisic.
C'est bel et bien ma truffe, ou plus précisément, toute la tuyauterie située au dessus, qui me donne du fil à retordre. J'inhalationne, je pulvérise, je souffle pour tenter l'extraction. Effet zéro sur la plomberie. Contrainte de respirer par la bouche. Coup de bol, les amygdales ont fondu dans la nuit sous l'effet de la propolis (Je conseille la propolis d'ailleurs. Voilà un produit naturel et compétent). Je ne souffre plus dans ce coin là, c'est déjà ça.
Je ne suis pas vaillante au point de noircir des pages de blogs intelligemment toutefois. D'où le coup de main de mon copain Gandhi ce matin. Merci Gandhi.