Pas de nouvelles, mauvaises nouvelles.

Alors voilà ami lecteur, j'ai pas montré le bout de mon nez ici ces dernières semaines, parce que je n'aurais pas été de bonne compagnie. Je suis certaine que tu comprends. C'est à cause de mon corps. Il a encore fait des siennes depuis Noël. Les trucs habituels. Et puis aussi quelques inédits dont j'ai pas envie de parler, pour pas faire ma rabat-joie. Celui à qui je vais en causer en revanche et pas plus tard que la semaine prochaine, au centre anti cancer, c'est Super Mario. Parce que si c'est pas la faute aux "métastases-le-retour", je voudrais quand même avoir le début d'une explication pour ces bizarreries nouvelles et anciennes. Et pis si possible aussi QU'ON M'EN DÉBARRASSE parce que là, y'en a ras de ras la casquette !!

En attendant, ben je vis étriqué. "Un peu". Quand même. Faut reconnaitre. C'est pas bien mes habitudes de geindre. Mais là, on va pas s'mentir. C'est un peu étroit la vie, quand le corps sécessionne.

Ce matin tout de même, j'ai repris l'appareil photo pour la balade d'Isséo. Histoire de me sortir les yeux du nombril et de les poser sur de jolies choses. Regarde comme c'est joli tout autour, ami lecteur. Ça fait du bien non ?

Tiens, je t'en remets un p'tit coup encore.
Pour la route.
Pour toute ta journée.

C'est chouette hein, les casiers, dans le soleil du matin ?
Tiens, regarde celles là aussi !

J'aime le détail.
Les filets, les palettes, les cordages, tout ce matériel de pêche pas bien beau vu de loin... T'as remarqué comme ça se transforme en pépites et en paillettes quand tu prends la peine de t'approcher ?

Encore quelques unes pour tes mirettes !
Profite ami lecteur :

Hein que c'est beau ?!
Ce matin, il n'y avait qu'à se rincer l'oeil pour se laver le ciboulot.